Le pays compte pas moins de 1 600 boîtes de nuit, et 152 avait fermé définitivement leurs portes à la fin mars 2021 a rapporté l'Umih.
Au total, "25% de la profession va disparaître, et une grande partie des établissements, qui travaillent l'été, entameront dans quelques jours leur deuxième année de perte totale de chiffre d'affaires", affirme Christian Jouny, délégué général du SNDLL.
"Nous demandons de l'équité, de la justice : nous voulons rouvrir le même jour que les concerts, les mariages... et les lieux d'échangisme", a souligné de son côté Thierry Fontaine, président de l'Umih Nuit, sous les lambris du Conseil d'Etat.